Mardi Gras #1 (The Ride) – comics

J’étais tranquillement en train de me lire ce comics sur le trône pas plus tard qu’hier et, en le refermant et en regardant la couverture, je me suis qu’elle était -putain- quand même vachement belle. Genre « Waouh ». Du coup, comme c’est pas la première fois que je me fais ce genre de remarque assis sur mes toilettes, j’inaugure une nouvelle rubrique où je posterai de temps à autre une couverture ou affiche « coup de cœur ». Pour le plaisir des yeux donc. Ça vous changera de mes paragraphes de 15 lignes.

On commence donc avec la couverture pour le flip-book Gun Candy/Mardi Gras pour la série The Ride avec la cover de Mardi Gras #1. Pour la critique, le comics est un bon divertissement. Pas le projet du siècle mais un truc parcouru par le style et le cool.

Pas de nouvelles, bonnes nouvelles ?

Je me demande si je ne l’ai pas déjà faite celle là.

En ce moment, et comme à peu près d’habitude, je ne me croise pas les bras (juste les doigts). Après avoir pas mal bossé l’année dernière sur des romans (oui, c’est toujours dans les tuyaux, ça prend juste un délais gigantesquement long pour être lu et ensuite être refusé et ensuite être accepté), cette année j’ai répondu à quelques Appels à texte pour des nouvelles (trois et je ferai le point en septembre sur celles acceptées et celles refusées) et ensuite lancé pas mal de projets et de propositions de projets (JDR, plusieurs BD, une web-série et même un projet télé). Mais de la même manière que pour les romans, comme il s’agit de propositions, de démarchages, d’hypothèses, ça prend beaucoup beaucoup beaucoup (non il n’y a pas un beaucoup en trop) de temps à être examinées, à être refusées ou validées. Bref, je glande pas particulièrement mais si vous ne voyez pas grand chose ici en ce moment, c’est tout à fait normal !

Ah oui et puis je joue à Super Street Fighter IV Arcade Édition alors forcément, le reste du temps, je glande.

Comme vous êtes gentils, je vous propose la promo « Danger » pour Breaking Bad saison 4 – comme ça vous ne m’aurez pas lu pour rien !

Japan Expo/Comic Con’ – 30 juin/3 juillet 2011

Ce week-end c’est la Grande Messe Geek : la Japan Expo/Comic Con’.

Comme tous les ans, ça s’annonce comme un salon/festival monstrueux en terme d’offres, de surprises et de passants (ils prévoient 190 000 entrées). Au menu : du manga bien sûr, du comics of course, mais aussi pas mal de jeux vidéos, de séries TV (web ou non) et même du jeu de rôles. Et puis il faut pas oublier, en marge des stands classiques, des animations, de nombreuses séances de dédicaces, des conférences et la diffusion de plusieurs séries et films en avant première (le nouveau film Fullmetal Alchemist et le dernier film d’animation Green Lantern: Emerald Warriors). C’est très fourni, très varié et à chaque fois je suis toujours surpris par l’immensité des lieux (on s’y perd facilement et on ne s’y retrouve jamais sans plan).

Pour ma part, j’y serais au moins le jeudi toute la journée. En plus j’ai gagné une entrée gratuite grâce à l’excellent podcast comics Comixity (quoi vous ne connaissez pas ?), je ne me ferais donc pas prier pour me balader, papoter et acheter (bah oui, y’a toujours des offres auxquelles un geek ne peut pas dire non).

Je précise que l’entrée à Japan Expo permet d’aller au Comic Con’ sans payer et inversement : les deux se trouvant au même endroit et n’étant pas séparés (il y a simplement une porte d’entrée pour l’un et une porte d’entrée pour l’autre).

Insidious – film


Insidious c’est le petit dernier du malin James Wan (Saw 1) et Leigh Whannell (Saw 1).
C’est un film de maison hantée et un film de possession. Et j’en suis ressorti très enthousiaste.

Si l’histoire reste assez classique, l’ambiance qui s’en dégage est vraiment prenante. Réalisation (perceptives impressionnantes), travail sur le son, sur les points de vue et montée progressive (insidieuse quoi) de la tension, petit à petit… pour verser dans un truc très baré en seconde partie.

Alors oui, il y a une nette rupture de ton mais j’estime que c’est aussi ce qui fait le charme de ce film, qui lui donne une réelle personnalité. Passé la première moitié, s’enchaînent des moments humoristiques/grotesques à la Twin Peaks (des personnages très décalés pour le genre posé jusqu’alors), des moments qui rappellent les jeux Silent Hill et le Darkness de Balaguero (décor, obscurité brumeuse, quotidien horrifique) et il y a même quelque chose de Freddy dans son final hystérique (gamin apeuré, situation onirique et boogeyman de passage). C’est d’ailleurs toute cette seconde partie qui m’a franchement emballé tellement les événements s’enchainent sans répits et la rupture de ton est agréable parce qu’inattendue.

Insidious, c’est un film de maison hantée, oui, mais c’est surtout un train fantôme de fête foraine.