Ils sont quatre. Ils ont roulé toute la journée pour arriver dans les Pyrénées jusqu’aux abords de la frontière espagnole. Ils espèrent y découvrir ce qu’il est advenu du père dont ils sont sans nouvelle depuis plusieurs semaines. C’est dans les montagnes environnantes, à la tombée de la nuit, une fois la lune pleine, qu’ils seront contraints de se réfugier dans une ferme éloignée de tout pour trouver des réponses et survivre aux attaques de créatures assoiffées de chair humaine.
Qu’est-ce que Pleine Lune ?
Pleine Lune est un roman format poche de 150 pages (7€). C’est un thriller hargneux, un survival horrifique français avec une paire de scènes trash. C’est d’ailleurs le seizième roman des éditions Trash et mon second roman paru après Presque Minuit.
En pratique, Pleine Lune (précédemment connu sous le nom Chaque Pleine Lune) est mon quatrième roman écrit et se situe à l’extrême opposé de Presque Minuit. Là où ce dernier est un roman jeunesse d’aventure, un « grand film d’animation » tout public, Pleine Lune est mon « petit film d’horreur », un roman qui tape dans plusieurs genres : thriller, série B, film de siège, slasher, survival – le tout avec un doigt de fantastique et deux fists de gore.
C’est un roman dont j’avais débuté l’écriture il y a 5-6 ans (à la suite de Presque Minuit, Reservoir Girl et Posthume) et dont j’avais abandonné l’écriture, ne sachant pas à quel éditeur j’aurais pu proposer un roman d’horreur de moins de 200 pages.
Alors, au final, s’il y a bien 2-3 scènes gentiment gratinées et que Pleine Lune se destine aux amateurs et amatrices averti(e)s d’horreur, rien d’insoutenable au regard des plus extrêmes romans de la collection : j’ai avant tout cherché à proposer une histoire de survie horrifique (genre que j’adore), avec du suspense, des « morceaux de bravoure » iconiques et gores, très rythmé (bien aidé par mes producteurs m’ayant demandé d’écourter mon exposition et d’ajouter un chouïa d’hémoglobine) et avec quelques rebondissements sans chercher non plus à proposer un scénario à twists (le survival, ce n’est pas une histoire alambiquée, c’est une série de moments marquants), un vrai divertissement d’exploitation visant une efficacité de chaque instant.
Ah oui, pour ceux qui suivent mes écrits rôlistiques, il y a un clin d’œil (évident à la lecture) à l’Americana-verse (Devinez pour quel journal français, le père disparu travaille ?). On se refait pas.
Où acheter Pleine Lune ?
Directement sur le site des éditions Trash ou dans les librairies partenaires.
Mon conseil d’achat ?
Les frais de port pour un roman sont modestes (2,5€) mais si vous voulez « amortir » ces derniers, je vous conseille de prendre 3 romans (4€ de frais de port pour le tout !). Si vous hésitez dans le choix, prenez Pestilence de Degüellus/M. Heylbroeck (un vrai petit chef d’œuvre – sans déconner) et Emoragie de Brain.Salad (pour lequel j’ai infusé quelques idées de contexte). En plus, ce sont deux romans à 6€, vous allez pas vous plaindre.
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