Illustration par Willy Favre.
Et pour quelques informations de plus :
Et pour quelques informations de plus :
Et pour quelques informations de plus :

Je ne suis pas très « jeux de plateau » ni très « jeux de cartes ». La plupart du temps, j’ai une grosse tendance à l’ennui et au bout de 4-5 parties, je suis lassé. Sauf pour Gosu (en tout cas, après une vingtaine de parties). Gosu, c’est bête et con : on joue un « Seigneur de guerre » cherchant à se constituer une armée de gobelins pour foutre sur la tronche du ou des voisins. Simple comme le cerveau d’un gob’ donc. Ce que j’apprécie chez Gosu, outre la beauté de l’ensemble des illustrations, c’est la rapidité des parties et leurs variétés. Il existe pas mal de manière de gagner, pas mal de petites spécificités liées à certaines combinaisons de cartes que l’on assimile au fur et à mesure. Les parties sont donc relativement rapides et enlevées (on joue souvent autour de la table, ça tourne généralement assez vite). Autre point agréable : le deck – l’ensemble des cartes – est commun à tout le monde. Le jeu ne profite donc pas aux plus argentés ou à ceux qui passent leurs vies à construire leurs jeux de cartes (comme dans certains jeux de cartes à collectionner).
Voilà donc, Gosu, chouette jeu, joli produit, pas excessif en terme de prix et prenant ! Coup de cœur quoi.
Et pour quelques informations de plus :
En faisant un peu de rangement sur mon disque dur, j’ai retrouvé cette image, seule et sans info, à priori enregistrée au cours d’une séance de Google-Fu en juin 2002. Et, visiblement, c’est cette image qui m’a inspirée, inconsciemment, bien des années plus tard, le premier scénario de Black Trinity (« La place du mort »). Comme quoi, c’est souvent à partir de pas grand chose que se développe tout un scénario.