Chernokids – court – animation

« Chernokids » est impressionnant court film d’animation (quasi 7 minutes) réalisé par une ribambelle de gens talentueux (au moins cinq, disons) en tant que film de fin d’études (2011) à Supinfocom. Bien que chiche en infos supplémentaires (pas de dessins préparatoires par ex.), un site existe pour avoir toutes les coordonnées des kids à l’origine de ce chouette ovni.

Black Trinity en aides de jeu

En attendant un futur (et dernier ?) article sur Black Trinity où je tenterais de pointer/lister les références plus ou moins cachées liées à la finalité du dernier scénario, un billet pour promouvoir le Scriptorium Ludique et le nombre conséquent d’aides de jeu qu’il met à disposition sur son blog pour Black Trinity. Faux documents, fiches de personnages chiffrées, pièces d’identités, photos de PNJ, tout y passe. Les quelques données techniques sont prévues pour le jeu B.I.A. mais la grande majorité de ces aides de jeu peut s’adapter à n’importe quel système de jeu.

Et pendant qu’on parle de ce site, sachez aussi que Tony Martin y propose son adaptation du système de jeu Corpus Mechanica pour Z-Corps.

Black Trinity en musiques

Maintenant que Black Trinity a été intégralement publiée, j’en profite pour récapituler tous les liens musicaux pointant vers chaque page de téléchargement (légale/gratuite/mise à dispo par les auteurs).

Par ailleurs, si vous voulez connaître les chansons ayant fini numéro #1 en 1945 (selon Billboard Magazine), il faut cliquer ici.

La place du mort (#1/4)

  • Les bandes originales des jeux vidéos Obscure et Obscure 2 par Olivier Derivière.
  • Les bandes originales des films Martyrs et Eden Log par Seppuku Paradigm.
  • Les albums Ghosts I-IV de Nine Inch Nails (Ghosts I est disponible gratuitement).

La chambre noire (#2/4)

La maison des anges (#3/4)

La fin et le début (#4/4)

(L’oeil cannibale parle de) Reservoir Girl

Après le retour de Cédric Ferrand à propos de Presque Minuit, c’est Julien « Wyatt Scurlock » Heylbroeck qui me fait l’honneur de relire mon autre roman, Reservoir Girl. Il s’est livré à un long billet circonstancié sans m’en prévenir ce qui m’a fait doublement plaisir (oui, c’est mal d’être content, je me soigne, ne vous inquiétez pas).

Au niveau démarchage, j’ai frappé à sept ou huit portes ces derniers mois et, pour l’instant, j’ai reçu deux refus. Deux lettres-types à base de « intéressant mais ne rentrant pas vraiment dans la ligne éditoriale » donc rien de bien méchant. Affaire à suivre.

Et, évidemment, je ne manque pas de préciser avant que vous ne me demandiez : non, ce n’est pas « la vraie » couverture (puisque le roman n’est pas (encore ?) édité). C’est juste pour mon petit plaisir personnel de graphiste et pour donner le ton un peu « pop » de cette histoire.

Casus Belli 5 / Black Trinity 4 (final) / en vente

(Il parait que) Casus Belli n°5 est sorti aujourd’hui. Au menu : la fin du monde, rien que ça. Et la fin de Black Trinity dont le dernier scénario se nomme « La fin et le début ». Comme quoi, il pouvait pas être plus raccord avec le thème.

Comme pour les précédents, le magazine propose des news, des critiques de jeu, des scénarios et des aides de jeu. Et donc, le quatrième et dernier scénario de Black Trinity. C’est toujours écrit par moi-même et c’est entièrement dessiné par mon compère Willy Favre.

Si les trois premiers scénarios étaient relativement feutrés, avec un fantastique léger pour être un maximum générique et accessible, celui-ci, pour le final, est plus… épique (à défaut de trouver un terme adéquat).

L’intérêt d’un ensemble de scénarios avec une intrigue propre à chaque épisode – et pas la continuité d’une même grosse histoire coupée en quatre parties – c’est justement (selon moi) de pouvoir changer de registre, de ton et d’être utilisé par le lecteur occasionnel (celui qui ne dispose pas de l’ensemble des numéros).

Pour ce dernier scénario, j’ai donc opté pour une approche qui me permettrait d’expliquer, de manière détournée, l’intégralité de l’histoire jusque là et une petite intrigue pour des nouveaux venus. Je me suis ainsi amusé à proposer quelque chose qu’il n’est presque (voire pas) possible dans un jeu du commerce où il y a un cadre à respecter. Cette fin ne plaira sûrement pas à tout le monde, d’autant que j’ai dû me faire violence pour réussir à tout caser (les explications liées aux précédents scénarios et l’intrigue du jour) mais je me suis fait plaisir et l’expérimentation aura été intéressante.

Tiens, y’a même de grandes chances pour que vous compreniez enfin pourquoi il y a toujours le même morceau qui revient et la signification du titre « Black Trinity » (le titre français de « Trinité Noire » ne servant qu’à noyer le poisson, le réel sujet de fond de ces histoires…). Deux arguments imparables à l’achat, non ?