Le saviez-vous ? (Americana : l’intégrale du syndrome de Babylone)

Feuille de prétiré

Avant que John Doe n’annonce ma prochaine (petite) production surprise dans leur prochain Courrier de Légistes (le n°10), j’en profite pour faire un bref récapitulatif des « petites infos et anecdotes » concernant Americana : l’intégrale du syndrome de Babylone publiées ces dernières semaines sur la page Facebook dédiée.

  • Le livre comporte deux rabats. Le premier fait office de table des matières tandis que le second affiche un index des personnages importants, récurrents ou notables présents dans les différents scénarios. Réunis, les deux « marque-pages » forment le Tetragrammaton, le symbole au centre de cette grande histoire.
  • Les feuilles de personnage et de prétiré ont été designées de sorte qu’elles puissent être pliées en deux, rester « logiques » (données techniques usuelles au recto, plus ponctuelles au verso) et imprimées sans avoir à les redimensionner (sans infos coupées).
  • Toutes les aides de jeu (+ de 30) sont téléchargeables sous la forme d’un PDF sécurisé par un mot de passe (indiqué dans le livre). Pour une impression en douceur et éviter le syndrome du « livre éventail » et des photocopies tordues.
  • Les portraits sous forme de polaroids de tous les PNJ et factions d’importance (18) sont téléchargeables sous la forme d’un PDF sécurisé de la même façon que les aides de jeu. Petit bonus (très) pratique : le PDF contient un lien vers un compte Instagram réservé aux meneurs où se trouvent les portraits de tous les PNJ ! Instagram « public » et donc accessible sans compte par le biais de votre Smartphone, de votre tablette ou de votre ordinateur. Pour montrer directement un PNJ aux joueurs sans avoir à masquer la page de votre livre, la photocopier ou l’imprimer!
  • Les feuilles de personnages, aides de jeu et portraits sont téléchargeables dans l’onglet « À jouer » !
  • Americana : l’intégrale du syndrome de Babylone se déroule dans un « univers étendu », le même univers que les jeux de rôle « Notre Tombeau » et « Patient 13 », la campagne parue dans Casus Belli « Black Trinity » et la BD « Silences ». Dans Americana : l’intégrale du syndrome de Babylone, au détour de scènes, on reparle d’un secret caché au coeur des souterrains parisiens de Notre Tombeau, on apprend qui fut – semble-t-il – Morgue, le premier Patient 13, on explique les liens entre le Bizarre (Notre Tombeau, Silences) et le Wings (Black Trinity, Syndrome de Babylone), on entend parler d’un certain Attrape-Coeurs de Salinger (Silences), on visite brièvement Silent Peaks (Black Trinity). Ces clins d’oeil et explications ne sont compréhensibles que pour celles et ceux ayant lu ces ouvrages. Si ce n’est pas le cas, la référence ne sera pas remarquée ou sera considérée comme un détail annexe parmi d’autres.
  • Dans le précédent Courrier des Légistes (le n°9), outre une rapide présentation du syndrome de Babylone, j’ai écrit un « mot de l’auteur », un texte personnel, un peu ronflant sur la conception et les efforts liés à la création de cet ouvrage.

Pour finir, Roliste TV a livré une longue critique du jeu en vidéo visible sur leur site, youtube ou ici-même.

On se retrouve d’ici quelques jours, pour l’annonce de la suite !

Americana : l’intégrale du syndrome de Babylone sort aujourd’hui !

Durant votre vie précédente, alors que vous étiez enfants, vous avez vendu vos âmes à de mystérieux collectionneurs contre l’assurance d’une vie dénuée de cauchemars.
De nos jours, dans un Los Angeles dont vous découvrez les rouages cachés et les personnalités occultes, vous êtes contraints de voler des âmes pour racheter les vôtres.

Americana : l’intégrale du syndrome de Babylone est un Burst (un jeu de rôle-campagne). C’est une série de six scénarios indépendante de tout jeu de rôle et munie de règles dédiées.

Au croisement des œuvres de David Lynch (Twin Peaks, Lost Highway), de Clive Barker (Imajica, Lord of Illusions) et de Neil Gaiman (American Gods, Neverwhere), inspiré par Angel Heart, Donnie Darko, L’Échelle de Jacob, la structure des séries TV et la musique du groupe Tool, Americana : l’intégrale du syndrome de Babylone est un thriller onirique, une saga fantastique et une épopée tragique formant une grande histoire avec un début, un milieu et… plusieurs fins.

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(les deux dernières photos présentent un comparatif d’épaisseur entre
Americana : l’intégrale du syndrome de Babylone, Patient 13 et Notre Tombeau.

Pas de nouvelles, bonnes nouvelles ?

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Premier billet de l’année et déjà à la bourre !

Pas facile-facile de se remettre à écrire un billet quand on a déjà l’impression d’avoir écrit un peu partout plusieurs fois la même chose. Mais comme il est important de résumer les différents événements ou projets à un même endroit, voici les dernières nouvelles en date !
Comme je le faisais remarquer dans un message sur la page Facebook de Misterfrankenstein, rien de ce que j’aurais écrit l’année dernière ne sera sorti (mise à part un très ancien scénario pour Sable Rouge dans Di6dent) mais 2015 s’annonce comme l’exact opposé, avec quelques surprises en plus. Tant mieux, hein.

Americana : l’intégrale du syndrome de Babylone

Depuis mon dernier billet, Americana : l’intégrale du syndrome de Babylone a été relu sous toutes les coutures, tellement de fois que je ne veux plus (jamais) le lire avant plusieurs années. Et oui, je sais et suis conscient qu’une vilaine faute me sautera au visage à la première page ouverte, mais c’est ainsi, c’est l’horrible loi de la relecture !

Le Burst a été mis en page, (richement) illustré par les (prestigieux) Willy Favre, LG et moi-même (oui, même moi). Et pour ceux familiers des illustrations de LG, mon petit doigt me dit qu’ils seront très étonnés de ce qu’il a livré et du style adopté – l’image au-dessus en est d’ailleurs un chouette extrait, patchwork onirique et tordu qui sied parfaitement au contenu de l’ouvrage.

Mieux, c’est parti à l’impression ! 192 pages remplies à ras-bord, quasi 2 cm d’épaisseur pour une expérience s’adressant à des joueurs blasés (et vétérans).

Sortie prévue dans les prochaines semaines et je ne manquerai pas de le signaler immédiatement ici-même.

Dans tous les cas, si vous désirez suivre au plus près l’actualité de ce projet, je vous recommande fortement de suivre la page facebook dédiée : j’ai prévu d’y poster des éléments – visuels, citations, musiques – tirés du livre ainsi que des anecdotes, tous les jours jusqu’à sa sortie !

Autres projets

Je développe tranquillement (c’est à dire, à peu de chose près, « dans mon coin ») plusieurs projets de jeu de rôle dont un qui avance bien, et dont des photos ont pu être croisées au détour de mon compte Instagram et Facebook. J’y reviendrai une fois que Americana sera sorti pour ne pas courir à droite et à gauche.

Roman

J’ai reçu la validation d’un projet de court roman d’horreur écrit en milieu d’année dernière, pour une parution prévue en fin d’année. Là aussi, plus d’informations dès que les précédents projets auront été dévoilés.

Sur ce, je vous donne rendez-vous pour la sortie d’Americana, avec une surprise dans la foulée !

Petites Interviews

La Petite Interview

Il y a quelques semaines, j’ai donné de ma personne en causant de moi-même et de jeu de rôle durant cinq grosses minutes pour La Petite Interview de Farid Ben Salem. Ce document d’archive rôlistique est à déguster ci-dessous ou sur youtube avec toutes les autres (celles de Pierre Rosenthal, Didier Guiserix, David Burckle, Ludovic Papais et celles à venir !)

Profitez bien de cette fabuleuse image d’aperçu : même en se forçant, on en réussit jamais d’aussi belles !

Café-Rôliste (de Willy Favre)

Par ailleurs et pour continuer dans l’ego-trip, mon cher ami, Willy « Brain Salad » Favre, a pris le café avec Yannick « Orlanth » Polchetti pour un Café-Rôliste d’une petite demi-heure qui s’écoute avec décontraction et intérêt. Si j’en parle ici, c’est que mon pseudo revient plusieurs fois dans la conversation et que monsieur Favre avec qui j’échange plus que régulièrement (plusieurs fois par mois, voire même par semaine) revient sur mon travail et ma façon d’aborder l’écriture. Toujours étrange d’entendre quelqu’un parler de son travail, mais ça fait prendre un peu de recul – ce qui est toujours intéressant – et vu ce qui s’y dit, c’est pas non plus désagréable ^^ ! En tout cas, ça s’écoute au bout de ce lien !

PS : Oui, Americana : l’intégrale du syndrome de Babylone est toujours en cours de maquettage. Plus d’infos dès que j’en ai !

Monsterchic.fr

Hier, j’ai terminé une nouvelle peinture pour Monster Chic et je réalise maintenant que je n’ai jamais présenté mes trois dernières créations en date ! Il faut dire que j’ai tendance à en produire une tous les six mois lorsque j’ai envie de m’aérer l’esprit ou que je suis en pause d’écriture (et je ne trouve pas souvent le temps de passer 20-25 heures à composer, simplifier, affiner le trait d’une illustration très grand format), ce qui n’aide pas à obtenir un rythme régulier.

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J’avais envie de changer un peu des femmes fatales et de dessiner un vrai « monster chic ». Du coup, voyant des images promo pour la sortie du dernier film en date, j’ai opté pour une grosse bête, iconique et à l’animalité destructrice : le King of Monsters, Godzilla. Il est disponible en deux formats carrés (30 x 30 cm / 50 x 50 cm), en noir et blanc.

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Challenge : dessiner un personnage à lunettes, au crayon, quand les lunettes font une trentaine de centimètres de long sur le format (60 x 90 cm), avec les effets évasés de vide/blancs à prendre en considération ! Tulip + The Cat est disponible en deux formats (40 x 60 cm / 60 x 90 cm), en noir et blanc.

BloodyBonnie_coul_WEB

L’envie de dessiner une nouvelle Femme Fatale s’est fait ressentir et je suis partie de cette paire d’yeux pour développer tout le reste (visage, cheveux, posture, fond). Par contre, j’en avais marre de lui adjoindre un animal à chaque fois (et puis, une fois qu’on a dessiné un chat, n’est-ce pas la fin de la créativité ?). Du coup j’en ai profité pour tenter un lettrage et une version alternative en couleur par ordinateur. Bloody Bonnie est donc ma première peinture entièrement digitale à l’heure actuelle. Elle est disponible en deux formats (40 x 60 cm / 60 x 90 cm) mais aussi en deux versions (noir et blanc/couleurs).

Évidemment, toutes ses illustrations (et bien d’autres) sont disponibles en séries limitées (entre 15 et 25 exemplaires par format) sur www.monsterchic.fr