
Alors qu’elle rentre d’un babysitting, Cleo Costanza, 19 ans, jeune femme aussi paumée que sarcastique, est pourchassée par un tueur fantomatique. Elle est sauvée in extremis par trois versions d’elle-même – une fillette portant un masque de dinosaure et armée d’un fusil, une quadra taciturne, une senior aux mains bandées façon momie égyptienne – avant de se faire mortellement percuter par une voiture… et de revenir à la vie. Le début d’une folle odyssée à travers les États-Unis.
🎤 « Une Armée à Moi Seule » sort le 15 septembre chez 404 éditions.
Les précommandes sont désormais ouvertes (grand format, 482 p, 16€, ISBN 9791032405642).
▶ Corrections orthos
Depuis la dernière fois, j’ai reçu le retour de la correctrice et en comparaison du second jet, c’était du petit lait. Certes, c’est toujours l’occasion de découvrir mes nouvelles marottes spécifiques au roman (écrire « Y’avait » et pas « Y avait », abuser des « ceci dit » et pas des « cela dit », avoir une approche très personnelle du positionnement des virgules — perso, j’appelle ça mon style mais tout le monde ne sera pas d’accord). Ça demande d’être vigilant en validant (ou non) les retours un par un pour s’assurer de leurs pertinences.
▶ Relecture maquette
Ensuite est arrivé le plus long : la relecture du roman entièrement maquetté. C’est un exercice très satisfaisant car le manuscrit prend une autre forme et en tant qu’auteur, on le découvre « autrement » (à la limite de se questionner parfois sur le fait que ce soit mon texte). Mais, c’est sacrément chronophage. Ça équivaut à « lire » le roman de A à Z en étant deux fois plus lent pour vérifier des choses, en proposant quelques modifs ici ou là (pauvre maquettiste), pour que le texte soit toiletté au possible.
▶ La suite
Le roman va partir à l’impression d’ici début juillet pour être fin prêt pour la rentrée (vous savez, celle littéraire, de la fin du monde, de la crise du papier, de la guerre, de…). Bref, la rentrée. N’hésitez pas à motiver (#harceler) votre libraire préféré pour le précommander et montrer votre intérêt !
« Là où tous se perdent, nous nous retrouvons. »
(Le visuel est un extrait de la couverture qui tue de Axel « Supacat » Mahé).