ORDO / Soundtrack

Déjà une semaine depuis la sortie d’Ordo, et j’en ai profité pour rassembler l’ensemble des morceaux indiqué en fin d’ouvrage pour en faire une playlist spotify, deezer et youtube.

Dans le roman, j’ai attribué un « thème principal » à chaque personnage et ça donne donc cette grosse vingtaine de morceaux.

Adeptes des grands écarts musicaux, vous êtes cordialement invités à ouvrir grand vos esgourdes : ça alterne entre Billie Eilish et The Who, Run the Jewels et Marilyn Manson. Donc ça nécessite quelques étirements au préalable…

LE POUVOIR EST DANS LE SANG (et dans vos oreilles aussi ^^)

ORDO / 404 éditions

Ordo, mon nouveau roman chez 404 éditions, sort aujourd’hui !

Ordo, c’est un roman à grand spectacle qui se déroule à New York de nos jours. C’est 350 pages remplies à ras bord qui, sous une couverture étincelante de beauté, mélangent guerre entre familles mafieuses, pouvoirs magiques, pactes démoniaques et rebondissements énergiques. C’est l’histoire d’un cambriolage sous haute tension où vont se jouer les vies de Tyler Vines, Hazel Ashbury, Teresa Sutter, Matthew Harrington et Lorna Donosius, derniers descendants de chacune des familles de l’Ordo. De jeunes adultes qui vont tout faire pour réaliser leurs rêves. Pour le meilleur et pour le pire.

Si je devais « situer » le roman en 4-5 références cinématographiques : Constantine, Supernatural, Peaky Blinders, Baby Driver, le tout avec une pincée d’humour décalée à la De Bons Présages. J’avais envie de m’amuser en l’écrivant et j’ai donc joué à fond la carte du divertissement avec un récit alternant entre thriller (beaucoup de suspense) et blockbuster (pas mal d’effets spéciaux) avec un maximum de situations cools et de personnages hauts en couleurs. Ou l’inverse. Je voulais quelque chose qui débute tranquillement, qui pose les bases d’un univers riche, pour ne plus s’arrêter avant la toute dernière page. Du moins, c’était mon idée, mon envie. Pour savoir si c’est réussi, il faudra que vous rejoignez l’Ordo Magicae !

Vous vous souvenez du pitch ? Non ? Alors on récapitule :

New York, de nos jours.
Dans l’ombre, cinq familles liées par le sang d’un même ancêtre, se servent de l’Obscur, une magie issue d’un monde démoniaque, pour étendre leur influence et diriger leurs affaires en ville.
Alors que surviennent des tensions avec un gang de la côte Ouest, Ambrose Donosius, 356 ans, patriarche des cinq familles new-yorkaises et chef de l’Ordo Magicae, est assassiné lors d’un attentat surnaturel en plein Manhattan.
Cinq jeunes gens, derniers descendants d’Ambrose et sans perspectives d’avenir face à des parents immortels, voient dans l’événement l’occasion de planifier un casse.
Ils ont moins d’une semaine pour préparer le cambriolage magique du siècle, celui qui leur permettra de devenir rois à la place des rois et de régner sur l’Ordo.

Évidemment, si vous avez la moindre question, je suis là. Et n’oubliez pas :
LE POUVOIR EST DANS LE SANG (et dans votre porte-monnaie aussi ^^)

Ordo (sortie le 10 septembre !)

En début de semaine, je me suis rendu chez l’éditeur pour une grosse séance de dédicaces et pour mirer, pour la première fois, Ordo en chair et en os. La bestiole a fière allure : je ne me m’attendais pas à ce que le rouge soit métallisé et puisse être aussi facilement « lu » les yeux fermés, ce qui rend particulièrement bien. Ça offre même un chouette contraste avec les tons bleutés et la texture de la couverture. Ça risque de ne pas toujours être évident à photographier mais pour qui aime le challenge, ça va donner des photos super classes.

Le roman sort donc le 10 SEPTEMBRE.
Ouais, dans une semaine (jeudi prochain tout à fait) chez @404editions et je suis assez pressé d’avoir vos retours sur ce roman « à grand spectacle ».

D’ailleurs, pour celles et ceux qui aiment les romans-univers, y’aura quelques belles double-pages d’informations sur le monde, sans pour autant que ce soit nécessaire de les lire en détail pour apprécier l’histoire (ça s’adresse plus au lectorat qui aime passer en revue toute la généalogie des personnages avant de débuter Game of Thrones ou pour qui aime bien situer qui est qui dans l’organigramme de l’Ordo ^^).

Bref, vous savez :
1/ Gloire à Ambrosius.
2/ Vous pouvez déjà le précommander n’importe où.
3/ Le pouvoir est dans le sang !

Ordo (couverture & pitch)

New York, de nos jours.
Dans l’ombre, cinq familles liées par le sang d’un même ancêtre, se servent de l’Obscur, une magie issue d’un monde démoniaque, pour étendre leur influence et diriger leurs affaires en ville.
Alors que surviennent des tensions avec un gang de la côte Ouest, Ambrose Donosius, 356 ans, patriarche des cinq familles new-yorkaises et chef de l’Ordo Magicae, est assassiné lors d’un attentat surnaturel en plein Manhattan.
Cinq jeunes gens, derniers descendants d’Ambrose et sans perspectives d’avenir face à des parents immortels, voient dans l’événement l’occasion de planifier un casse.
Ils ont moins d’une semaine pour préparer le cambriolage magique du siècle, celui qui leur permettra de devenir rois à la place des rois et de régner sur l’Ordo.

LE POUVOIR EST DANS LE SANG.


ORDO sort le 10 septembre chez 404 Éditions et vous pouvez le précommander dès à présent !

Contes de Minuit

Il était une fois un monde imaginaire, une ville « hors du temps » ressemblant à un Londres victorien sombre et décalé, à un Paris des Années folles baroque et halluciné, à une Venise gothique brumeuse et colorée, une unique cité aux habitants à l’apparence issue des contes, bordée par une mer infinie où le soleil ne se lève jamais.

Contes de Minuit est un jeu de rôle de fantasy urbaine, un univers néo-victorien de contes pour adultes, où les joueurs incarnent des détectives privés, à l’apparence plus ou moins humaine, enquêtant dans une étrange ville nocturne aussi folle que macabre et poétique.

C’est un jeu de rôle « traditionnel », dans le sens qu’il se joue dans une configuration MJ (La Directrice du 221B Barker street) + PJ (les Détectives) pour des séances de jeu de durée classique avec un système utilisant des dés à six faces. Le jeu fait 240 pages (règles + contexte + 3 scénarios) et contient de quoi créer des Détectives (six personnages prétirés sont proposés en plus) et le cabinet de détectives, générer les prémisses d’une Affaire à élucider avec quelques conseils sur le ton assez particulier du jeu (entre enquêtes soft à la Sherlock Holmes et contes de fées dark). Le jeu contient aussi un mode d’emploi pour jouer rapidement en lisant 30/40 pages (en utilisant les prétirés pour la première séance afin de tester le jeu).

C’est un jeu « tout public » en ce sens qu’il ne contient pas de passages spécifiquement gore ou déviants (même s’il est facile d’aller vers l’horrifique étant donné son décor et sa filiation avec les contes — y’a tout de même des bouchers sans tête et des tueurs en série aux oreilles pointues évidemment).

C’est un jeu que je « traîne » depuis deux décennies, que je « finalise » depuis six ans sans parvenir à le boucler. J’ai d’ailleurs rendu publique une page Facebook m’ayant servi de journal intime/journal de bord durant ce finish de six ans où je conte mes espérances et déboires, mes notes d’intention, mes objectifs et mes ratés.

S’il sera donc nouveau pour vous, il est ancien (daté ?) pour moi. C’est un jeu que j’ai « terminé » en grande partie (sic) d’écrire avant, pendant et juste après Americana (2014-5). Avant mes Shooters et tout ce qui a suivi. Je nourris donc des sentiments conflictuels envers lui : s’il fut « plutôt moderne » en son temps, il ne l’est plus, d’autant plus que j’ai « depuis » sorti plusieurs autres jeux et romans. Au point que le jeu a souvent failli passer à la poubelle, même ces dernières semaines, quand la première relectrice m’a rendu le texte corrigé, car passer ne serait-ce que deux heures de plus sur le texte, m’étouffait et me donnait envie de foutre le feu au monde.

C’est donc un besoin de passer à autre chose, tout en pouvant construire sur ce que j’ai accouché qui m’a poussé à le sortir (et à l’heure actuelle, je vois quand même que c’est rempli de petites idées, que y’a matière à s’amuser et j’apprécie toujours la création de cabinet et la génération d’Affaire qui pourrait probablement me resservir plus tard). Le jeu a probablement été très sympa un moment de son développement mais je suis infoutu de savoir si c’est maintenant ou non. Tout ça pour dire, qu’il ne faudra probablement pas compter sur moi pour faire beaucoup de service après-vente ni même d’en faire la pub à foison (de la même manière que je n’ai jamais parlé de ce jeu avant sa sortie). Faut jamais dire jamais, mais ça m’étonnerait.

Contes de Minuit est disponible à la vente au format pdf (chez Lulu et DriveThru) et au format papier (couverture souple ou couverture dure).